La paroi de
Béhistoune en Iran, gravure monumentale perchée à 100 m au dessus du sol
ordonnée par Darius 1er, l’un des plus grands souverains perses
autour de 520 av. J.-C.
Ce grand œuvre de Darius est le pendant de la Pierre de Rosette pour le déchiffrement des cunéiformes. En effet, on y trouve trois fois le même texte – et très fourni en noms propres, base de l’interprétation des signes – dans les trois langues élamite, vieux-perse et akkadien. C’est la découverte majeure qui brisera l’impénétrable secret des premières écritures mésopotamienne, sauf le sumérien qui ménage malgré tout des passerelles avec l’akkadien…
C’est Henry Rawlinson qui finira par décrypter ces signes parachevant ainsi le travail initié au tout début du XIXè s. par Georg Friedrich Grotefend.
Voir là-dessus l’article de Jean Bottéro, republié dans un hors-série de l’Histoire, L’écriture depuis 5000 ans, Des hiéroglyphes au numérique, septembre 2103.
Ça s’écoute chaque semaine, mais certaines émissions sont plus passionnantes encore que les autres pour qui s’intéresse tout particulièrement au langage. Et c’est justement ce qu’a traité ces dernières semaines Jean-Claude Ameisen dans Sur les épaules de Darwin, à savoir la lecture et le déchiffrement des écritures. Pour être honnête, les activités périscolaires du samedi matin m’empêchent de profiter des émissions dans leur intégralité mais ça se podcast aisément sur le site de France Inter. Samedi dernier, il était question des mystères du linéaire B ; passionnant ! Alors laissez-vous bercer par la voie d’Ameisen, c’est l’occasion…
Ce grand œuvre de Darius est le pendant de la Pierre de Rosette pour le déchiffrement des cunéiformes. En effet, on y trouve trois fois le même texte – et très fourni en noms propres, base de l’interprétation des signes – dans les trois langues élamite, vieux-perse et akkadien. C’est la découverte majeure qui brisera l’impénétrable secret des premières écritures mésopotamienne, sauf le sumérien qui ménage malgré tout des passerelles avec l’akkadien…
C’est Henry Rawlinson qui finira par décrypter ces signes parachevant ainsi le travail initié au tout début du XIXè s. par Georg Friedrich Grotefend.
Voir là-dessus l’article de Jean Bottéro, republié dans un hors-série de l’Histoire, L’écriture depuis 5000 ans, Des hiéroglyphes au numérique, septembre 2103.
Ça s’écoute chaque semaine, mais certaines émissions sont plus passionnantes encore que les autres pour qui s’intéresse tout particulièrement au langage. Et c’est justement ce qu’a traité ces dernières semaines Jean-Claude Ameisen dans Sur les épaules de Darwin, à savoir la lecture et le déchiffrement des écritures. Pour être honnête, les activités périscolaires du samedi matin m’empêchent de profiter des émissions dans leur intégralité mais ça se podcast aisément sur le site de France Inter. Samedi dernier, il était question des mystères du linéaire B ; passionnant ! Alors laissez-vous bercer par la voie d’Ameisen, c’est l’occasion…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire